Effets induits
- Temps de travail :
(–) augmentation du temps de travail pour la préparation du semis, l’implantation, et la destruction du couvert.
- Organisation du travail :
(–) travaux à prévoir lors de la période d’interculture.
- Économie :
(–) augmentation des charges opérationnelles et de mécanisation en fonction de l’espèce implantée et des techniques de semis et de destruction ;
(+) les coûts d’engrais peuvent être limités.
- Agronomie :
(+) limite le développement des adventices, l’érosion, la battance, l’altération de la structure du sol ;
(+) favorise l’activité biologique du sol, améliore l’état sanitaire du sol en fonction des espèces choisies ;
(+) permet le stockage de la matière organique, du carbone et de l’azote dans le sol, favorisant la fertilité des sols ;
(+) améliore la régularité et l’homogénéité de la culture suivante ;
(–) les espèces de la famille des Poacées peuvent entraîner une faim d’azote lors de leur décomposition ;
(–) certaines espèces ont des risques de repousses ou sont favorables à certains bio-agresseurs.
- Qualité du produit :
pas d’incidence.
- Énergétique :
(–) l'implantation et la destruction du couvert entraînent une consommation de carburant plus importante que le maintien du sol nu pendant l'interculture.
- Environnement :
(+) limite les fuites de nitrates ;
(+) Les auxiliaires, les pollinisateurs et la faune du sol peuvent être favorisés par la présence du couvert, de façon variable selon la ou les espèces choisies.