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Méthodes de protection

 

  • Mesures de prévention


La maladie peut être transmise par greffage. Il est donc fondamental d’utiliser du matériel végétal (porte-greffes et greffons) contrôlé et accompagné d’un passeport phytosanitaire européen, voire certifié.

Les variétés les plus sensibles au phytoplasme sont les variétés anciennes ‘Reinette du Canada’, ‘Reinette du Mans’, ‘Belle de Boskoop’, ‘Cox’s Orange’, ‘Golden Delicious’, ‘Gravenstein’, ‘Starking’, ‘Winter Banana’ ainsi que les variétés récentes ‘Jonagold’, ‘Gala’, ‘Fuji’, ‘Querina’, ‘Florina’, ‘Prima’ et ‘Priscilla’.


Au niveau des porte-greffes, le P2 et le M7 sont connus pour être sensibles et pour entraîner la mort rapide des arbres.


Il existe des cultivars tolérants à ce phytoplasme qui n’expriment pas la maladie mais qui restent des porteurs sains du phytoplasme de la prolifération du pommier.


Des chercheurs italiens et allemands mènent en collaboration des travaux afin de créer des porte-greffes qui soient résistants. En effet, la diffusion de porte-greffes résistants permettrait d’éliminer la possibilité de survie hivernale du phytoplasme et ainsi «d’assainir» les arbres infectés en été.


La mise en place d’un dispositif de lutte contre Cacopsylla picta n’est pas vraiment pertinente au vu de la faible présence de ce vecteur sur le terrain

Dernière modification : 07/11/2013
  • Auteur :
  • . GIE-FPSO (GIE)