Taches à plages poudreuses, veloutées ;
présence d'une moisissure...
présence d'une moisissure...
Sur les figures 1 et 2 vous pouvez consulter ce que nous considérons être des taches à plages poudreuses sur folioles de tomate.
Figure 1 | Figure 3 |
En présence de tels symptômes et de bien d'autres, on peut émettre de nombreuses hypothèses qui peuvent être :
- soit parasitaires
- Botrytis cinerea ;
- Passolora fulva ;
- Leveillula taurica ;
- Oidium neolycopersici ;
- Penicillium sp. ;
- Phytophthora infestans.
- Passolora fulva ;
- Leveillula taurica ;
- Oidium neolycopersici ;
- Penicillium sp. ;
- Phytophthora infestans.
- Fumagine et ravageurs associés (pucerons... )
Un feutrage, une moisissure, une sporulation sur les folioles de la tomate ( appelés aussi signes) matérialisent dans bien des cas la présence de champignons se développant aux dépens des tissus végétaux. Ces signes ont fréquemment été précédés par des symptômes, par exemples des taches chlorotiques (Leveillula taurica, Passalora fulva...), des lésions brunâtres et concentriques (Botrytis cinerea), des plages livides (Phytophthora infestans). Les champignons responsables n'ont fructifié sur les tissus que dans un second temps, après les avoir plus ou moins colonisés et altérés.
Dans un nombre plus limité de cas, ces signes constituent aussi les symptômes ; c'est notamment le cas de plusieurs oïdiums externes et des champignons constituant la fumagine associée au développement de plusieurs ravageurs. Ils font l'objet de cette rubrique.
Un feutrage, une moisissure, une sporulation sur les folioles de la tomate ( appelés aussi signes) matérialisent dans bien des cas la présence de champignons se développant aux dépens des tissus végétaux. Ces signes ont fréquemment été précédés par des symptômes, par exemples des taches chlorotiques (Leveillula taurica, Passalora fulva...), des lésions brunâtres et concentriques (Botrytis cinerea), des plages livides (Phytophthora infestans). Les champignons responsables n'ont fructifié sur les tissus que dans un second temps, après les avoir plus ou moins colonisés et altérés.
Dans un nombre plus limité de cas, ces signes constituent aussi les symptômes ; c'est notamment le cas de plusieurs oïdiums externes et des champignons constituant la fumagine associée au développement de plusieurs ravageurs. Ils font l'objet de cette rubrique.