Intérêts et limites
| Facteurs étudiés | Effets positifs | Effets négatifs 
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| Organisation du travail | 
 | - Connaissances nécessaires sur les éventuels effets allélopathiques des plantes. - Organisation de la main d’oeuvre nécessaire pour gérer plus d’espèces. - Augmentation possible de la pénibilité du travail dans le cas des associations. 
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| Economie | - Moins d’achat de fertilisants et de produits phytosanitaires si les espèces cultivées se complémentent. - Sécurisation du revenu. - Rendements supérieurs à ceux des cultures pures dans 70% des cas. - Trésorerie supplémentaire due à la vente de la culture associée. 
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| Agronomie | - Augmentation de la biodiversité cultivée. - Utilisation équilibrée des ressources du milieu lorsque les espèces mises en association ont des caractéristiques complémentaires (système racinaire, développement végétatif, durée des cycles). - Maintien de la structure et de la fertilité du sol. - Gestion de l’enherbement. - Possible réduction des dégâts des ravageurs avec les associations (perturbation de leurs repères visuels et olfactifs). - Effet répulsif d’une plante sur les ravageurs et maladies de la plante associée. 
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| Qualités des produits | - Moins de résidus de produits phytosanitaires. 
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| Environnement | - Préservation de la qualité de l’eau grâce à une moindre utilisation de fertilisants. 
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| Consommation d'énergie | - Consommation de carburants en moins car moins de passage pour la fertilisation. 
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 Cultures : Identifier, connaître, contrôler
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