Effets induits
- Temps de travail :
peu d’incidence, sauf le temps pour la mise en place et le renouvellement des phéromones, attractifs…
- Organisation du travail :
(–) besoin de stockage des produits au frais le plus souvent.
- Économie :
la différence est fonction de l'écart de prix entre les programmes de traitement chimique et les programmes à base de piégeage de masse, en sachant que c’est généralement une méthode complémentaire pour améliorer l’efficacité de la protection tout en limitant l’application des produits phytopharmaceutiques.
- Agronomie :
pas d’incidence.
- Qualité du produit :
pas d’incidence.
- Énergétique :
(+) pas d’intervention mécanisée, donc diminution des énergies.
- Environnement :
(+) pas d’impact sur la biodiversité fonctionnelle, car la technique est en général très sélective (sauf peut-être dans le cas de certains attractifs alimentaires peu sélectifs) et n’a en général pas de classement toxicologique (sauf phéromones) ;
(+) diminution des transferts de polluants vers l’eau et l’air grâce à la réduction des insecticides ;
(+) diminution des rejets de gaz à effet de serre.