Intérêts et limites
Facteurs étudiés |
Effets positifs |
Effets négatifs
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Organisation du travail |
- Pour certains produits alternatifs, l’absence ou la durée très courte des délais d’entrée et d’avant récolte permettent de ne pas interrompre l’entretien de la culture et sa commercialisation. - Effet à plus ou moins long terme de certains microorganismes selon les conditions climatiques (ex : champignons entomopathogènes). |
- S’assurer que les produits soient disponibles sur le marché des DOM (le transport par bateau et le stockage chez les distributeurs est parfois difficile pour des produits à base de bactéries). - Conservation des produits à base d’organismes vivants dans des conditions bien spécifiques. - Utilisation rapide des produits après ouverture du sac. - Raisonnement des applications afin de prévenir les phénomènes de résistance. - Choix limité de produits phytosanitaires classiques compatibles avec ces produits alternatifs.
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Economie |
- Meilleure valorisation possible à la vente des produits. |
- Augmentation du coût de la main d’oeuvre pour les traitements. - Dépenses nécessaires pour l’achat des produits. - Efficacité des traitements variable.
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Agronomie |
- Équilibres des écosystèmes respectés. - Gestion phytosanitaire durable.
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Qualités des produits |
- Moins de résidus toxiques. - Meilleur aspect visuel si réduction des dommages.
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Environnement |
- Moins de risques pour l’environnement. |
- Si produits alternatifs non spécifiques, possibilité d’impact négatif sur la biodiversité utile.
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Consommation d'énergie |
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- Augmentation car en général il faut de nombreuses applications successives.
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